Vitamine B6, fatigue et dérèglements hormonaux : et s'il suffisait d'une cure ?

Vitamine B6, fatigue et dérèglements hormonaux : et s'il suffisait d'une cure ?

Bien que nous nous sentions toutes et tous libres, force est de constater que nous restons soumis(es) à nos émotions dans de nombreuses situations. À qui la faute ?

Certains experts pointent de plus en plus du doigt notre système endocrinien.

Dérangés lors de l’avènement de la ménopause (pour les femmes) et de l’andropause (pour les hommes), ses cycles, dits “hormonaux”, sont d’une importance capitale pour notre santé et pourtant encore insoupçonné(e) par bon nombre d’entre nous.

De leur impact sur les décisionss que nous prenons au quotidien à l’efficacité de notre système immunitaire, en passant par la biologie du vieillissement, nos hormones semblent bien décidées à “donner le LA”.

C’est la raison pour laquelle on dit de l’hypothalamus (l’un des organes principaux du système hormonal) qu’il est l’un des “chefs d’orchestre” du corps humain.

C’est entre autres pourquoi il est essentiel d’en prendre soin et d’en éviter autant que possible les dérèglements.

Pour y parvenir, limiter l’exposition aux perturbateurs endocriniens est important mais le maintien de son bon fonctionnement passe aussi par une attitude proactive, au travers d’une nutrition adaptée.

À cet égard, certains nutriments se révèlent plus efficaces que d’autres, notamment dans le cadre du processus de sénescence.

Pour la vitamine B6 en l’occurrence, dont l’on dit qu’elle est très utile pour lutter contre les épisodes de fatigue “anormale”, on peut mesurer l’utilité qu’on lui porte à sa popularité grandissante au sein des suppléments alimentaires qui la contiennent.

Pourquoi la vitamine B6 semble-t-elle si adaptée à la nutrition anti-âge ? Quel est son rôle vis-à-vis du système endocrinien ? Comment en optimiser les bienfaits ?

L’équipe de MyPureSkin vous aide à comprendre un peu mieux la ménopause en explorant ses mécanismes et à en prévenir les désagréments les plus notables.

Hormones, âge et fatigue

Pour beaucoup d’entre nous, ce n’est malheureusement qu’à partir de la cinquantaine que nous ressentons l’importance qu’a pu revêtir toute au long de la vie notre système hormonal.

Cette prise de conscience est en général conséquente à l’apparition d’une série de “symptômes”, parmi lesquels :

  • Des difficultés plus importantes à garder le contrôle de son poids;
  • Des difficultés à conserver un niveau de sommeil en quantité et en qualité suffisantes pour maintenir le métabolisme cellulaire;
  • Des difficultés à maîtriser la constance de sa température corporelle et des sensations qui s’y attachent (troubles vasomoteurs tels que les “bouffées de chaleur” (plus ou moins intenses et passagères) et qui ont tendance à s’accentuer au fil du temps dans les premières années suivant la ménopause);
  • Des difficultés à maintenir un niveau de psychoactivité sain (développement occasionnels de troubles de l’anxiété).

Au milieu de ces multiples problèmes, le niveau de vitalité ne peut qu’être mis à mal, c’est ce qui explique, pour certaines d’entre nous, la fatigue chronique directement liée au déclenchement de la ménopause.

La ménopause elle-même étant liée au ralentissement progressif puis à l’arrêt presque total de la production d’oestrogène par les ovaires, il reste possible d’envisager un traitement hormonal mais cela n’est pas sans risques (on sait en effet aujourd’hui que l’utilisation d’un traitement estrogénique augmente la probabilité d’un cancer de l’endomètre ou encore d’un cancer du sein).

La vitamine B6 en question

À l’opposé des THM (Traitements Hormonaux de la Ménopause), les résultats obtenus par des approches holistiques et préventives intégrant une supplémentation vitaminique ne présentent pas de tels dangers, comme le montre une étude parue en 2016 à l’initiative de Sui-Liang Zhang et ses collaborateurs (1).

C’est par ailleurs grâce à des recherches plus approfondies sur les rôles des complexes de vitamines B, telles que celles publiées en 2018 par l’équipe de Pawel Milart (2), qu’il a été possible de collecter, compiler et mettre en perspective les résultats de recherches ciblant l’utilité des vitamines.

Il ressort de la méta-analyse de Milart la conclusion suivante : un niveau trop bas de concentration en vitamines du groupe B (notamment B6) dans l’organisme peut mener, entre autres, à :

  • Une déminéralisation des os (qui, lorsqu’elle devient critique, entraîne l’apparition d’une ostéoporose);
  • Une augmentation des risques de démence;
  • Une augmentation de la probabilité d’apparition de maladies cardio-vasculaires.

En d’autres termes, une concentration suffisante de vitamine B6 est tout simplement vitale dans le cadre du processus de vieillissement.

Malheureusement, ce même processus emporte progressivement avec lui notre capacité à extraire correctement les nutriments de notre alimentation.

Biodisponibilité et capacité d'absorption : quand l'environnement et l'âge s'en mêlent

La capacité d’absorption des nutriments correspond à l’une des compétences les plus importantes du système digestif. Malheureusement, avec l’âge les mécanismes dont elle dépend ont tendance à être de moins en moins efficaces.

En d’autres termes : on extrait de moins en moins bien des éléments tels que les minéraux et les vitamines, notamment la vitamine B6, à mesure que l’on vieillit.

Il s’agit là d’un problème majeur sur lequel la communauté scientifique se penche activement afin de prolonger l’espérance de vie et d’en conserver le plus longtemps possible une qualité suffisante, synonyme d’autonomie.

C’est donc à la lumière des résultats d’études telles que celle publiée par l’équipe de Ida K. Kjeldby en 2013 (3) qu’il devient possible d’entrevoir les solutions proposées par la nutricosmétique.

Comme le révèle l’étude en question, la supplémentation alimentaire de vitamine B6 permet de pallier les problèmes de malnutrition que connaissent les seniors, conséquence conjuguée d’une baisse de la capacité d’absorption et d’une faible biodisponibilité des nutriments fournis par une alimentation contemporaine souvent peu adaptée.

La supplémentation alimentaire : une pratique préventive qui se démocratise

C’est, de manière générale, pour prévenir et limiter la vitesse à laquelle s’installent les maladies liées à la malnutrition et au vieillissement, que la nutricosmétique anti-âge propose aujourd’hui des solutions de plus en plus variées.

Toutefois, toutes ne se valent pas.

Pour le comprendre, il est d’abord nécessaire de s’intéresser à la façon dont la vitamine B6 interagit avec d’autres principes actifs.

La vitamine B6… et les autres : un ballet de réactions synergiques

Participant à une vaste variété de réactions enzymatiques, la vitamine B6 intervient entre autres dans le métabolisme des cellules de la thyroïde mais contribue aussi à produire l’hème (une constituante de l’hémoglobine, c’est-à-dire ce qui compose les globules rouges chargés de transporter l’oxygène à travers le corps pour en nourrir les organes).

Ces exemples donnent un aperçu du caractère vital de la vitamine B6 et de la diversité de ses implications.

S’il n’est plus à démontrer que sa consommation en supplément est souhaitable (voire nécessaire dans certaines situations sans que les consommateurs ne le sachent), la communauté scientifique a cherché les combinaisons les plus pertinentes au travers d’études centrées sur des aspects particuliers.

C’est donc vers des associations de vitamines issues du complexe B que les efforts tendent de plus en plus, étant données que l’on sait désormais la capacité des vitamines B6 et B12, entre autres, à travailler ensemble pour donner corps à la maxime : “Le tout est plus que la somme des parties”.

MyCollagenGlow : et si l'âge vous était conté d'une façon plus vivante ?

Si la sensation de fatigue chronique est devenue l’une des plaies du XXIème siècle, ce n’est pas seulement à cause de la surstimulation qu’offrent les écrans et autres sources de perturbation des cycles du sommeil.

La couverture des besoins nutritionnels est et demeurt l’un des piliers principaux d’un corps en bonne santé, peu importe à quelle étape de son processus de vieillissement celui-ci se place.

C’est donc au carrefour de la nutrition et de l’expertise anti-âge que le savoir-faire de MyPureSkin trouve à s’exprimer, au travers d’une solution nutricosmétique dont la formule met à profit les bienfaits d’une vitamine B6 à laquelle s’associe un lot de principes actifs fonctionnant en synergie.

Connu sous le nom de “MyCollagenGlow”, ce complément alimentaire vise à accompagner votre processus de sénescence pour permettre à votre peau de rayonner de santé et, donc, de briller autant que possible par sa qualité.

Contribuant en effet à conserver au fil du temps une qualité épidermique “normale”, MyCollagenGlow renferme :

  • De biotine (vitamine B8), dont l’action concomitante à celle des autres principes actifs stimule la production de kératine par votre organisme et augmente le taux de croissance des follicules pileux
  • De zinc dont le rôle dans l’entretien de la qualité de votre chevelure a été mis en lumière par de nombreuses études;
  • D’un complexe de vitamines B5, B6 et B12 dont l’intégration synergique avec la biotine augmente significativement les résultats que peut offrir la vitamine B8 seule;
  • De peptides de collagène marin dont la biodisponibilité est très élevée;
  • De galacto-oligosaccharides dont l’un des rôles clefs est l’entretien d’un élément clef de votre système immunitaire : votre flore intestinale (bien plus importante qu’on ne le croit dans l’entretien du cuir chevelu);
  • D’acide hyaluronique dont la colossale capacité de stockage lui permet de porter près de 1000 fois son poids en eau (afin de garantir à votre corps une excellente hydratation);
  • De vitamine E dont l’action anti-oxydante contribue à protéger vos cellules du stress oxydatif (et donc du vieillissement prématuré);
  • De bêta-carotène, précurseur de la vitamine A, dont les bénéfices s’étendent d’une capacité de conservation d’une vision claire à la préservation des fonctions cognitives et, bien entendu, de la qualité du cuir chevelu (en contribuant à préserver vos cellules du stress oxydatif).
  1. Étude mettant en lumière l’absence de l’augmentation des risques de cancers lors de la consommation de vitamines du groupe B : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4979769/
  2. Méta-analyse évaluant les résultats des études relatives à l’importance de certaines vitamines pour le maintien d’une qualité de vie chez les femmes ménopausées : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6372850/
  3. Recherches s’intéressant aux effets d’une supplémentation de vitamine B6 sur l’évolution de maladies liées au processus de vieillissement chez des seniors : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3579689/