Peau et vitalité à l'épreuve de la glycation : est-il possible de prolonger votre jeunesse ? - MyPureSkin

Peau et vitalité à l'épreuve de la glycation : est-il possible de prolonger votre jeunesse ?

Mystique, inéluctable, implacable : les qualificatifs pour parler du vieillissement ne manquent pas et ont toujours été empreints d’un certain fatalisme.

Cette façon de voir le voyage vers l’âge a cependant su évoluer à la lumière des découvertes scientifiques successives.

Depuis la révolution industrielle, la bataille visant à repousser les frontières du confort évolue pour offrir des perspectives nouvelles voire, parfois, révolutionnaires.

Il suffit de constater les surprenants résultats de traitements expérimentaux tels que ceux développés par les laboratoires Calico pour s’apercevoir que nous sommes à l’aube d’une augmentation conséquente de l’espérance de vie et d’une prolongation sans précédent de la jeunesse.

Mais en attendant de vous voir célébrer, sans rides ni ridules au sourire, des anniversaires à trois chiffres, l’équipe de MyPureSkin vous propose de plonger dans les mécanismes cellulaires à l’origine de ces découvertes et de profiter des bénéfices de produits bien réels, véritables innovations anti-âge du moment.

Vieillir, c'est quoi ?

Vaste sujet aux multiples dimensions, la question du vieillissement ne peut être traitée correctement qu’en cantonnant son étude à certains aspects du processus.

À l’égard de la peau, on peut tenter une définition du vieillissement par les “symptômes” visibles à l’œil nu qui l’accompagnent.

Voir sa peau vieillir, c’est donc constater, entre autres :

  • Une perte de souplesse;
  • Une perte de fermeté;
  • Une perte d’hydratation;
  • Une perte d’homogénéité du teint;
  • Une perte d’efficacité des défenses contre le stress oxydatif;
  • Une perte d’efficacité du système immunitaire topique.

Schémas comparant l'état d'une peau jeune et celui d'une peau âgée

Véritable cascade de conséquences se déclarant de façon progressive, le processus de vieillissement est synonyme de dégradation plus ou moins lente mais certaine des fonctions de la peau et donc de sa qualité.

Au-delà de l’organe cutané, le vieillissement s’accompagne d’une pléthore d’autres manifestations : perte de vitalité, difficultés de digestion, affaiblissement musculaire et osseux, et bien d’autres.

C’est la raison pour laquelle les progrès de la médecine anti-âge sont les bienvenus mais c’est aussi et surtout pourquoi la prévention d’un vieillissement mal contrôlé est la clef d’une bonne qualité de vie sur le long terme.

Pour y parvenir, il est nécessaire de comprendre et d’expliquer ce processus, en plongeant au cœur de vos cellules.

Évolution et symbiose : l'espèce humaine en devenir permanent

Fruit de 7 millions d’années d’évolution, l’être humain contemporain n’a pu apparaître qu’au prix de compromis anatomiques et d’adaptations incessantes à son environnement en vue d’assurer sa survie.

Du passage à la marche bipède à la mise au point de techniques et savoirs-faire pointus dans le domaine de la cuisine, son développement est ponctué par des révolutions techniques mais également biologiques.

Cette logique d’adaptation n’est pas propre à l’Homme puisqu’on la retrouve beaucoup plus tôt dans son arbre généalogique.

En effet, justement parce qu’elles partagent des origines communes avec les autres espèces, les cellules humaines sont les héritières d’un type spécifique de micro-organisme : les cellules “eucaryotes” (contenant un noyau, par opposition aux cellules dites “procaryotes”).

Anatomie de la cellule et place de la mitochondrie dans celle-ci

Le processus d’évolution permanente auquel sont aussi soumises ces cellules particulières a été le moteur d’une symbiose il y a quelques milliards d’années. Cette symbiose devait impacter à jamais le chemin que prendrait plus tard le développement de l’espèce humaine : il s’agit de la fusion avec une très ancienne bactérie que l’on appelle aujourd’hui “mitochondrie”.

La mitochondrie et la chimie cellulaire : histoire d'une symbiose réussie

Mais pourquoi la mitochondrie s’est-elle intégrée à nos cellules et quel rapport avec le vieillissement ?

Suivant une logique identique à celle qui nous a pourvu de pouces (s’adapter pour mieux survivre), notre symbiose avec la mitochondrie s’explique par l’une des merveilleuses fonctions que celle-ci offre à notre corps : celle de produire de l’énergie.

Anatomie de la mitochondrie

Loin de se cantonner à ce rôle, la mitochondrie intervient dans bon nombre d’autres aspects de la vie cellulaire mais c’est sur cet aspect que le processus de vieillissement se révèle avoir un impact très perceptible.

La mitochondrie lors du vieillissement : un organite cellulaire qui brille par son dysfonctionnement

Si le processus de vieillissement se traduit entre autre par une baisse de la vitalité, cela s”explique en partie par le déclin de la mitochondrie, en charge de la production d’énergie (sous forme d’une molécule connue sous le nom d’Adénosine Tri-Phosphate ou “ATP”, à partir de molécules de sucre, grâce à une série de réactions nommée “cycle de Krebs”).

Cette détérioration progressive est une conséquence d’un processus encore mal compris au sein du corps humain : la glycation protéique.

La glycation en question

Connue pour son utilisation en tant que marqueur d’évolution de l’état des personnes diabétiques, l’hémoglobine glyquée est un exemple du sort réservé aux protéines composant les cellules rouges, une fois celles-ci soumises à la glycation.

Se produisant naturellement, la glycation protéique des constituants de nos cellules augmente en fréquence avec le temps.

D’un point de vue chimique, il s’agit d’une forme de “réaction de maillard” (que l’on constate par exemple lorsque l’on fait noircir un morceau de viande par une cuisson trop importante). La caractéristique clef de ce type de réaction chimique réside dans la fixation d’un sucre à la protéine concernée.

Dans le cas d’une protéine composant une cellule du corps humain, cette réaction entraîne une perte d’une partie des fonctions de la protéine touchée qui devient alors une “protéine glyquée”.

Une telle protéine compromet l’intégrité de la structure dont elle fait partie et qu’elle compose (comme c’est le cas pour une protéine composant la membrane d’une cellule, ou encore pour une protéine de collagène).

Les grandes étapes de la réaction de Maillard

À l’œil nu, ce processus appliqué par exemple aux tissus de la peau se traduit par une perte de résistance, ce qui contribue entre autres au relâchement cutané, puisque certaines protéines clés de l’épiderme et du derme (comme le collagène) sont concernées par ce phénomène.

De la peau à la vitalité : la glycation au cœur du vieillissement

Constituant donc l’un des processus centraux du vieillissement avec l’oxydation (causée par le stress oxydatif), la glycation en est l’une des sources.

Photo représentant l'état théorique "avant / après" de la peau d'une personne qui réussit à limiter l'impact de la glycation sur le processus de vieillissement de sa peau

Rides et ridules mais également dépigmentation (comme on le voit dans le cas de l’apparition d’un vitiligo par exemple) ou encore difficultés à cicatriser : la liste des conséquences de la glycation est longue.

Par ailleurs, c’est justement parce que la mitochondrie est impliquée dans les réactions métaboliques de la respiration des cellules qu’elle devient progressivement la proie des dérèglements cellulaires engendrés par la glycation à mesure que le temps passe.

Dans une publication de 2008 (1), les chercheurs Naila Rabbani et Paul J. Thornalley rendent justement compte des dégâts causés par la glycation des protéines mitochondriales en charge de la production d’ATP (les molécules “d’énergie” utilisées par les cellules).

On y découvre que la mitochondrie est la proie d’un stress oxydatif déréglant crescendo son fonctionnement (ce qui impacte, entre autres, la vitalité) et que ce stress oxydatif est justement causé pour bonne partie par… une glycation des protéines mitochondriales !

La glycation dans le corps humain : quelles sources et comment s'en prémunir ?

En faible proportion, le phénomène de glycation protéique au sein de l’organisme est nécessaire puisqu’il permet de créer un équilibre au sein des populations de cellules.

Malheureusement, ce phénomène peut accélérer le vieillissement de l’organisme lorsqu’il est trop important.

Plus grave encore, une alimentation trop riche en produits raffinés et en plats industriels crée un apport en sucres trop important pour être géré par les mécanismes de régulation naturels du corps humain.

C’est au travers d’études telles que celle publiée par l’équipe du chercheur Fabrizio Guarneri en 2021 (2) qu’il devient possible de comprendre un peu mieux l’étendue des dégâts d’une glycation précoce des cellules.

On y apprend notamment l’impact profond sur la santé cutané des produits terminaux (issus de la réaction de glycation) que représentent les protéines glyquées et leurs “déchets” (ces produits terminaux sont désignés sous le terme “AGEs”, acronyme anglais de “Advanced Glycosylation End-products”).

Les conclusions de cette étude se déclinent en deux aspects principaux :

  • Une confirmation des résultats d’études antérieures sur le rôle prépondérant des molécules AGEs dans le développement de maladies cutanées et des risques de vieillissement prématuré de la peau;
  • Une mise en lumière des pistes prometteuses que pourraient représenter la manipulation des RAGEs (un type particulier de récepteurs à molécules AGEs) aux fonctions encore trop méconnues (mais dont l’on sait qu’ils sont justement impliqués dans l’apparition des problèmes susmentionnés).

Il devient par ailleurs de plus en plus clair que les récepteurs “classiques” des molécules AGEs (on les appelle les AGERS), en charge de détoxifier l’organisme, sont relayés par les les récepteurs RAGEs, lorsqu’ils ne sont plus capables de remplir leur rôle.

Le problème fondamental que pose ce “passage de bâton” tient en ce que les récepteurs RAGEs semblent être à l’origine du déclenchement de réactions inflammatoires, elles-même source des maladies cutanées évoquées précédemment.

Schéma représentant les molécules clefs impliquées dans le processus de glycation et leurs interactions

Forts de tels résultats, les ingénieurs de l’industrie anti-âge ont pris conscience de l’importance que pourrait revêtir un nutricosmétique anti-âge capable d’accompagner un rééquilibrage alimentaire afin de prévenir voire d’éviter un vieillissement prématuré de la peau.

Plus encore, il devient évident qu’un complément alimentaire se voulant rellement efficace doit cibler les effets néfastes de l’oxydation et de la glycation au sein de l’organisme.

C’est sur la base de cette approche que des équipes de professionnels tels que ceux œuvrant au sein des laboratoires MyPureSkin ont développé le lot de principes actifs phares que l’on retrouve dans certains des nutricosmétiques les plus puissants du marché.

MyCollagenRepair : quand la médecine anti-âge vous aide à préserver les acquis de l'évolution

Si la mitochondrie et les mécanismes naturels permettant à votre organisme de bénéficier d’une certaine vitalité et de protections naturelles pour votre peau, votre héritage génétique d’être humain n’a pas su évoluer aussi vite que les modes de consommation de nos sociétés contemporaines.

C’est en vue de préserver la santé de votre peau et de l’accompagner sur le long terme que les collaborateurs de MyPureSkin ont développé une gamme de nutricosmétique anti-âge à la qualité exceptionnelle au sein de laquelle se trouve MyCollagenRepair.

Produit du savoir-faire suisse et des dernières découvertes dans le domaine de la médecine anti-âge, la formule de MyCollagenRepair contient une synergie de principes actifs sélectionné avec soin pour nourrir votre peau de l’intérieur tout en contribuant à réduire le développement des deux dangers pour votre jeunesse :

  • Le stress oxydatif;
  • La glycation.

Pour y parvenir, votre prochaine cure de MyCollagenRepair vous fera profiter quotidiennement, en une simple prise (sachet de poudre et verre d’eau) :

  • Des vitamines C et E, antioxydants d’une redoutable efficacité;
  • De la coenzyme Q10 et de la SOD (Super Oxyde Dismutase), clef de voûte d’une système de protection contre les radicaux libres de l’intérieur et de l’extérieur de la cellule;
  • De l’acide rosmarinique et de la silymarine, travaillant à la fois en amont et en aval du processus de glycation pour le prévenir et l’inverser (actions anti-inflammatoire sur les récepteurs RAGEs, offrant des propriétés anti-glycante et déglycante);
  • De l’acide hyaluronique offrant à la peau une source d’hydratation (grâce à la capacité de ce principe à porter prêt de 1000 fois sa masse en eau);
  • Des peptides de collagène marin, dont la présence permet d’accompagner et de stimuler votre propre production de collagène, au sein de votre organisme;
  • De la biopérine, extrait de pipérine, capable d’augmenter la biodisponibilité des autres principes actifs afin de tirer parti au maximum des bienfaits de MyCollagenRepair.

Axée sur des sources exclusivement naturelles, l’extraction et la mise en formule des ingrédients de MyCollagenRepair s’inscrit dans une optique holistique, célébrant la santé de celles et ceux qui choisissent de faire confiance à l’équipe des laboratoires MyPureSkin.

Chardon-marie, Acérola, poivre noir, melon, poissons… vous ne pouvez pas vous trompez en décidant de tenter votre première cure de 3 mois avec MyCollagenRepair.

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  1. Recherches de Rabbani et Thornalley relatives à l’impact de la glycation sur la production d’énergie par la mitochondrie : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2639773/
  2. Étude de Guarneri sur le rôle des molécules AGEs et des récepteurs RAGEs dans le développement de maladies cutanées : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7827747/