Lumière sur votre peau : étude clinique du silicium organique

Silicium organique… un nom bien étrange. Loin des “puces de silicium” que l’on retrouve dans nos ordinateurs, ce sel minéral essentiel au bon fonctionnement de notre corps n’a pendant longtemps pas fait parler de lui.

C’est parce qu’une carence en silicium ne déclenche généralement pas de symptôme que la littérature scientifique ne s’est que peu penchée sur son rôle jusqu’à présent. Cependant, ces jours sont révolus car, tandis que la médecine anti-âge met le doigt de plus en plus précisément sur l’impact de cet ingrédient sur le vieillissement du corps humain, les solutions de nutrition qui l’intègrent à leur cocktail deviennent de plus en plus efficaces.

Quel est le rôle du silicium organique ? Pourquoi et comment le consommer ? Qu’est-ce qui explique sa popularité grandissante chez les personnes qui restent jeunes plus longtemps ? Aujourd’hui, votre équipe fait la lumière sur votre peau en explorant avec vous les faits derrière la tendance du silicium organique à se retrouver dans les compléments alimentaires anti-âge à boire.

Le silicium organique en questions

Oligo-élément nécessaire au bon fonctionnement du corps humain, le silicium intervient dans la composition et le maintien de la qualité des os, mais aussi dans le renouvellement du système immunitaire.

Il est par ailleurs nécessaire au maintien des cartilages qui ont tendance à s’effriter avec l’âge et joue également un rôle clef dans les tâches que l’organisme confie au foie.

Pourquoi consommer du silicium ?

Votre corps est une machine fantastique, dont les capacités de régénération sont impressionnantes. Malheureusement, pour assurer cette régénération, celui-ci a besoin de matériaux de base.

Contrairement aux plantes qui peuvent synthétiser par elles-mêmes un certain nombre de leurs briques élémentaires en exploitant la puissance du soleil (photosynthèse), votre corps doit en effet trouver dans son environnement certains des ingrédients nécessaires à sa survie.

C’est le cas du silicium, que nous sommes incapables de produire.

Tout comme bon nombre de sels minéraux, c’est au travers de la boisson que nous récupérons en général le silicium. C’est le sens de la formule “se réhydrater”, littéralement : refaire le plein d’hydrates, ions (silicium, potassium, magnésium…) rendus naturellement solubles par la dynamique des rivières, lacs, cascades et piégés en bout de course par l’eau de source que nous consommons.

Seuls ces “hydrates”, dont le silicium fait partie, permettent d’hydrater votre organisme.

C’est la raison pour laquelle l’eau distillée (dépourvue d’ions, c’est-à-dire de sels minéraux) n’étanche pas la soif.

Le silicium organique, plus accessible que sa version minérale ?

Malheureusement, l’eau plate issue du réseau de distribution public, bien que tout à fait potable, n’est pas nécessairement aussi riche en silicium que certaines eaux de source. Elle l’est même souvent trop peu.

L’alimentation prend alors le relais.

Ainsi, lorsque l’eau n’est pas adaptée à ses besoins, le corps puise dans sa nourriture le silicium dont il a besoin. Ce sont les céréales qui s’avèrent en l’occurrence les plus nourrissantes à cet égard : blé, avoine, orge, épeautre… mais les haricots blancs et les lentilles en sont également des sources assez riches.

Issu de matière vivante, le silicium est alors qualifié “d’organique”.

Si vous avez des difficultés à boire suffisamment et/ou que le goût d’eaux riches en silicium telles que l’Evian ou la Volvic vous incommode, opter pour la consommation de silicium organique au travers d’une alimentation riche en céréales est une bonne option.

Malheureusement, nos modes de vie et le raffinement grandissant des plats que nous consommons créent des déséquilibres qui rendent l’accès au silicium parfois compliqué. En effet, nombre de boîtes de céréales n’en ont aujourd’hui plus que le nom et les étiquettes d’ingrédients commencent souvent par “sucre”, ne relayant qu’en toute fin de chaîne, et avec une faible concentration, la véritable part des céréales dans les produits que vous consommez.

Si une carence en silicium semble sans conséquence directe sur le court terme, les signes accompagnant un vieillissement prématuré peuvent se ressentir malheureusement dès la trentaine.

Le silicium organique et le collagène marin

C’est en effet à ce moment-là qu’entre véritablement en scène le silicium dans le théâtre de votre vie.

Lorsque les douleurs articulaires, premiers signes d’une sérieuse perte de collagène, se font sentir, le silicium devient un véritable allié. Plus impressionnant encore : le silicium permet de traiter et de prévenir certaines maladies comme l’arthrose et l’ostéoporose.

Dans une étude de 2017 sur le silicium, le docteur Geusens et son équipe démontrent en effet les résultats positifs d’une forme de l’oligo-élément sur le traitement de l’arthrose du genou.

En 2005, le professeur Barel avait par ailleurs déjà prouvé au travers de son étude sur les effets d’une prise orale de silicium l’efficacité d’une forme spécifique du sel minéral sur l’amélioration de la qualité des ongles, des cheveux et d’une peau endommagée par le soleil.

D’autres études se joignent plus récemment à la cohorte et les preuves se rassemblent de plus en plus vite, pointant vers le rôle très large du silicium.

L’un des résultats les plus étonnants observés il y a peu montre que le silicium peut se fixer aux longues chaînes de collagène telles que le collagène marin.

Ce faisant, le silicium soutient l’effet du collagène.

C’est pour cette raison que les compléments alimentaires anti-âge l’intègrent aujourd’hui de plus en plus à leur formule.

En facilitant l’absorption de collagènes très biodisponibles, comme le collagène marin, et en contribuant à stimuler la production de collagène par votre organisme, le silicium organique vous aide à rester jeune plus longtemps.

Comment composer votre cure de silicium organique ?

C’est donc tout naturellement qu’une cure idéale de silicium organique se verra nécessairement intégrer d’autres éléments pour en maximiser les bénéfices sur votre santé.

Collagène marin, acide hyaluronique et acérola : le trio gagnant

Les compléments alimentaires à base de collagène marin et d’acide hyaluronique, en l’occurrence, sont d’excellents partenaires pour le silicium organique.

Que pouvez-vous donc attendre d’une telle cure journalière ? Les principaux bénéfices en sont, la plupart du temps, dès 4 semaines :

• Une amélioration de la qualité des ongles et des cheveux;
• Une meilleure qualité du grain de peau;
• Une sécheresse atténuée en profondeur du derme, signe d'une meilleure hydratation;
• Une meilleure résistance et une plus grande souplesse de l'épiderme;
• Une réduction notable des douleurs articulaires.

Si, par ailleurs, vous composez votre cure en y adjoignant quelques super-aliments, tels que de l’acérola, et de l’huile de germe de blé, vous pourrez facilement ajouter à votre liste de bienfaits une meilleure digestion et une plus grande vitalité.

Et les quantités ?

Dans son étude de 2005, faisant suite aux études précédentes de ses pairs, le docteur Barel avait déjà confirmé qu’à partir de 10 mg, une cure de silicium peut prétendre à être rapidement efficace.

Aussi, préférez certains compléments alimentaires généreux proposant une plus importante concentration, tel MyCollagenLift, qui en contient 15 mg.