Aussi étonnant que cela puisse paraître, votre flore intestinale a son mot à dire sur la santé de votre peau.
Fourmillant de micro-organismes dont certains sont bénéfiques à votre corps et d’autres pathogènes, votre système digestif est le siège d’une lutte territoriale permanente.
Plus les bactéries “alliées” sont présentes, moins il y a de place pour les bactéries “ennemies”.
Mais à quoi pense-t-on exactement lorsque l’on parle de bactéries alliées ? Quel est leur rôle ? Comment les aider dans leur tâche et quel impact la diminution de leur nombre sur votre santé cutanée ?
(Re)découvrez les bienfaits des galacto-oligosaccharides et comment entretenir une flore intestinale pour qu’elle n’aie pas… votre peau !
Allergies, vieillissement et probiotiques
Yaourt, fromage, natto, kimchi… De l’Occident à l’Orient, les probiotiques sont présents dans la plupart des cultures et s’invitent dans des plats aussi variés qu’éloignés géographiquement.
C’est parce que le corps humain est le fruit d’une évolution s’étendant sur des millions d’années que sa composition est aussi disparates.
Bien plus qu’un monolithe homogène, chaque individu est en fait le résultat de cohations, de coopérations, de guerres et de prédations qui ponctuent sans cesse une vie microbienne dont nous ignorons le drame au quotidien.
Toutefois, aussi silencieuse que cette aventure soit, elle ne nous est pas indifférente puisque c’est en partie ce ballet incessant de micro-organismes qui détermine notre état de santé.
De la coopération à la symbiose : votre système digestif est une colonie de partenaires divers
Les probiotiques sont un groupe de micro-organismes composé de bactéries d’origine diverses mais partageant un point commun : elles s’épanouissent dans votre système digestif.
Cet épanouissement s’explique par la coopération qui s’est établie au cours de l’évolution humaine entre les fonctions de certaines de nos cellules, les besoins nutritionnels de nos organes et le danger que représentent certains agents pathogènes que nous ingérons lors de nos repas.
Plus qu’une coopération, la relation entre les probiotiques de vos intestins et les cellules qui le tapissent porte en fait un nom particulier : la symbiose.
En d’autres termes : une fois dans notre système digestif, les probiotiques ont besoin de nous pour survivre et nous avons besoin d’eux pour traiter certains ingrédients.
Les allergies et leur préventions
L’apparition d’allergies est un phénomène complexe et multifactoriel mais l’un de ses leviers de prévention réside dans l’état de santé de votre flore intestinale.
L’incapacité des cellules immunitaires à reconnaître la nature nutritive de certains aliments que nous ingérons et l’absence de certaines enzymes capables de les traiter font partie des raisons expliquant les allergies.
En offrant au système digestif d’étendre ses capacités de traitement des éléments constitutifs des ingrédients, les probiotiques améliore son adaptabilité et donc sa capacité à extraire les nutriments et l’énergie du bol alimentaire qui les renferme.
Réduction des épisodes inflammatoires
Le corollaire de l’incapacité du système immunitaire à reconnaître un corps étranger comme un aliment utile est le déclenchement d’une réaction inflammatoire.
C’est ce qui entraîne par exemple l’apparition de rougeurs, de gonflements, voire de lésions cutanées. L’eczéma est donc une réaction particulièrement courante dans tous les types d’allergies.
En étendant les compétences du système digestif, il devient possible de réduire les épisodes inflammatoires et donc les “crises d’allergie”.
Dans une méta-analyse très récente (2023) publiée par l’équipe de Sung-Il Ahn (1), on retrouve les confirmations de cette logique.
Dans ses conclusions, on comprend en effet que des adultes déclarés intolérants au lactose et exposés à des produits laitiers ont vu leur capacité à les digérer nettement améliorée lors d’une consommation concomitante de probiotiques.
Les symptômes, notamment, associés à leur indigestion chronique diminuent tant en fréquence qu’en intensité.
Les allergies liées au vieillissement
Dans une autre étude, publiée en 2019 par Massimo De Martinis et ses collaborateurs (2), on comprend que la pathogenèse de nombreuses allergies (leurs mécanismes d’apparition) est intimement liée à deux périodes : l’enfance et le vieillissement.
Souvent considérées en effet comme des “maladies infantiles”, les allergies se déclarent généralement tôt, dans les premières années, et ont tendance à diminuer en intensité avec le temps lorsqu’elles sont encadrées médicalement de façon appropriée.
Toutefois, on constate également que celles-ci peuvent revenir chez les seniors. Pire encore : des allergies n’existant pas préalablement peuvent se déclarer lors du processus de vieillissement.
Les système immunitaire et digestif à l’épreuve de la sénescence
Le vieillissement se caractérise par divers changements visibles à l’œil nu : pertes d’élasticité, de fermeté, d’homogénéité du teint… Tous ces lieux communs ont une explication à l’échelle de vos cellules. C’est parce que votre production de collagène, d’élastine ou encore d’acide hyaluronique diminuent que votre peau flétrit.
Toutefois, les changements ne se font pas que dans votre peau mais dans l’ensemble de votre corps. C’est ce qui mène à une diminution de la masse musculaire, de la souplesse des articulations, de la vitalité et même… de la qualité de votre digestion.
Comme rapporté dans les conclusions de l’étude de Martinis, des allergies peuvent apparaître durant le processus de vieillissement mais leurs étendues, leurs fréquences et leurs intensités ne sont pas gravées dans le marbre.
Pour le comprendre, il faut se pencher sur les raisons de ces changements.
Le remodelage du système immunitaire lors du vieillissement
Comme l’explique Martinis, les allergies alimentaires sont les plus fréquentes lorsque l’on avance dans l’âge.
À l’origine de ce phénomène : un mécanisme que l’on nomme “immunosénescence”. Il s’agit en d’autres termes du vieillissement du système immunitaire.
Le système immunitaire occupant une place centrale dans la distinction entre aliments et corps étrangers indésirables, on comprend qu’un dysfonctionnement de la fonction immunitaire puisse entraîner une détérioration de la fonction digestive.
La détérioration du système digestif avec l’âge
Par ailleurs, le système digestif en tant que tel est directement concerné lui aussi par le processus de vieillissement.
En effet, lorsque nous vieillissons, la muqueuse gastro-intestinale (couche la plus interne du tractus gastro-intestinal) est altérée et ses propriétés changent en conséquence.
Des facteurs externes concourent à l’intensité de ce processus mais ce sont invariablement des cellules présentes sur ladite muqueuse qui sont concernées.
Les cellules dendritiques (des neurones présents dans le système digestif) sont la proie de dysfonctionnements liés à des déficiences systémiques (micronutriments et vitamines) dont l’absorption devient plus difficile.
Ce problème de biodisponibilité s’explique entre autres par le vieillissement cellulaire, qui emporte avec lui l’intégrité de la jonction occlusive (c’est-à-dire les propriétés de la structure constituée par les parois cellulaires, en contact les unes avec les autres dans la lame basale ou dans une matrice extracellulaire).
Par ailleurs, ces mécanismes s’inter-nourrissent, conduisant à un déclin plus ou moins rapide de la fonction gastrique, de la fonction digestive et de la portée du microbiote intestinal (que composent les probiotiques).
Accompagner la flore intestinale pour l'aider à surmonter le vieillissement
S’il peut être difficile de réguler directement le vieillissement cellulaire, le contrôle de notre alimentation reste en général une tâche abordable.
C’est pourquoi une compréhension suffisante des principes de bonne nutrition est vitale pour vivre mieux et vieillir en meilleure santé en limitant les risques d’allergies et autres maladies systémiques.
S’appuyant sur ce constant, certaines marques de produits laitiers n’hésitent pas à proposer aux consommateurs l’apport de probiotiques au système digestif pour augmenter l’arsenal à sa disposition dans la lutte contre les dysfonctionnements.
Toutefois, comme le rappellent les régulateurs de nombreux pays occidentaux, à l’image de la Grande-Bretagne au travers du NHS au Royaume-Uni (3), les probiotiques peuvent aider dans certains cas spécifiques mais leur efficacité face à des maladies cutanées et leurs symptômes (exemple de l’eczéma) n’a pas été démontrée.
Des prébiotiques pour nourrir la flore intestinale
Plutôt que de chercher à “remplacer” la flore intestinale, la nutricosmétique signée MyPureSkin propose de recourir à une approche éprouvée : conserver et entretenir celle que vous possédez déjà.
Certaines fibres alimentaires ne sont pas digestibles naturellement par votre organisme mais sont les sources de nutrition princales de votre microbiote intestinal. C’est le cas de molécules telles que les GOS (Galacto-OliggoSacharides).
Les galacto-oliggosacharides dans la littérature scientifique
Dans une étude publiée en 2017, Yang Hee Hong et son équipe relèvent une amélioration significative de l’hydratation cutanée après 12 semaines de traitement à base de GOS consommés oralement (4).
Quelques années plus tard, une publication explore l’effet prébiotique des galacto-oliggosacharides sur le microbiote cutané (5).
Mais il suffit de remonter à 2016 et de lire les conclusions des recherches de A. Monteaguado-Mera et de ses collaborateurs (6) pour prendre la mesure du potentiel des GOS.
Comme le précise le chercheur dans son compte-rendu, la consommation de galacto-oliggosacharides offre des bénéfices santé non seulement dans un organisme malade mais également dans un organisme sain.
La propriété la plus intéressante des GOS est la possibilité de moduler la population du microbiote intestinal ainsi que de ses métabolites. Les conséquences les plus notables en sont une réduction des bactéries pathogènes et la promotion de l’espérance de vie et de l’efficacité de bactéries probiotiques déjà présentes dans l’organisme telles que le Bifidobacterium mais aussi le Lactobacillus.
Les GOS et leurs synergies pour la protection cutanée
Les études précédentes ont principalement permis de montrer l’effet indirect des GOS sur le maintien de la qualité de la peau au travers de l’entretien du microbiote intestinal.
Toutefois, les GOS sont également capables d’entrer en synergie avec d’autres principes actifs pour bénéficier directement à la santé cutanée.
Dans les résultats d’une étude publiée récemment (2022) par Kisoo Han et son équipe, on note en effet que la combinaison de collagène et de galacto-oligosacharides ont permis de très nettement :
- Améliorer l’homéostasie du collagène endogène (produit par le corps humain);
- Augmenter l’efficacité de la peau en tant que barrière face aux agents pathogènes du monde extérieur;
- Modifier, au travers de l’expression d’un gène, les niveaux de cytokines et de moduler la composition de la flore intestinale (dans le prolongement de l’étude de Monteaguado-Mera);
- Par conséquent améliorer le niveau de photo-protection de la peau (résistance face aux UVs).
Les GOS : un ingrédient à consommer avec d'autres principes actifs pour plus d'efficacité
Ce qu’il ressort de l’ensemble de ces recherches (et de celles en cours), c’est que votre santé cutanée, digestive, générale pourrait bénéficier quotidiennement de la consommation de galacto-oligosacharides de façon simultanée à d’autres principes actifs tels que le collagène.
Cette conclusion est d’autant plus vraie pour les seniors qui entrent dans une phase accélérée du processus de vieillissement, comparée aux personnes plus jeunes.
En effet, si le processus de vieillissement ralentit la production de collagène, d’acide hyaluronique, d’élastine et de bien d’autres molécules dès 25 ans, ce phénomène a tendance à gagner en vitesse à mesure que les années passent.
C’est pourquoi l’optimisation de l’espérance et de la qualité de vie passe par une nutrition ciblée, permettant de prendre soin de la flore intestinale et de ses acteurs.
Synergie de galacto-oligosaccharides : comment prendre soin de votre flore intestinale et de votre peau ?
Cette approche s’avère malheureusement de plus en plus difficile en vieillissant avec une alimentation classique.
En effet, la diminution des fonctions de la muqueuse gastro-intestinale, comme exposée dans l’une des études précédentes, est un frein direct à une bonne nutrition.
En ce sens, le niveau de biodisponibilité des ingrédients que vous consommez est essentiel ainsi que les synergies pouvant exister entre eux.
Savoir choisir un complément alimentaire pour vous accompagner vers un mieux-être à tout âge
C’est pourquoi il fait de plus en plus sens de recourir à la nutricosmétique. Le choix d’une formule à base d’ingrédients 100% naturelle reste l’idéal mais il vous faut également vous assurer des synergies qui s’y jouent.
Votre organisme appréciera les cocktails à base de collagène hydrolysé, d’acide hyaluronique à faible poids moléculaire, de galacto-oligosacharides mais aussi d’antioxydants et d’autres micronutriments travaillant de concert.
Un autre point essentiel et d’intérêt pratique réside dans la forme du produit que vous choisirez. En effet, un produit sous forme liquide aura tendance à laisser ses ingrédients en solution interagir avec la lumière, l’humidité ou les particules en suspension dans l’air.
Les produits à base de poudre sont donc à préférer mais un pot à utiliser à la cuillère pourrait également enrayer l’intégrité de la formule en y apportant des impuretés externes, en plus d’exposer le contenu à l’air libre à chaque ouverture.
Préférez donc un produit sous forme de multiples sticks de poudre, pré-dosés pour une utilisation facile et optimale du produit.
MyCollagenGlow : rayonnez avec une formule savamment pensée
C’est justement dans cette optique que MyPureSkin déploie son expertise cutanée et anti-âge en vous offrant MyCollagenGlow.
Concentrée de mieux-être sous forme de sticks de poudre, sa formule renferme des principes actifs faisant retentir la philosophie de notre équipe : “La Science et la Nature au cœur de nos formules”.
Respectueux de votre santé sur le long terme, MyCollagenGlow se compose en effet de la façon suivante :
- Des galacto-oligosaccharides dont l’un des rôles clefs est l’entretien d’un élément central de votre système immunitaire : votre flore intestinale (bien plus importante qu’on ne le croit dans le maintien de la qualité de la peau, du cuir chevelu et des ongles);
- De peptides de collagène marin dont la biodisponibilité est très élevée;
- D’acide hyaluronique dont la colossale capacité de stockage lui permet de porter près de 1000 fois son poids en eau (afin de garantir à votre corps une excellente hydratation);
- De biotine (vitamine B8), dont l’action concomitante à celle des autres principes actifs de MyCollagenGlow stimule la production de kératine par votre organisme (contribuant à la santé de la peau, des ongles et du cuir chevelu) et offrant surtout un soutien cutané contre l’apparition de dermatites;
- De la vitamine B6, dont l’utilisation médicale est de plus en plus fréquente dans le cadre de traitements de divers dérèglements cutanés;
- D’un complexe de vitamines B5 et B12 dont l’intégration synergique avec la vitamine B8 augmente significativement les résultats que peuvent offrir seules les vitamines B6 et B8;
- De zinc dont le rôle dans l’entretien de la qualité de votre peau et de votre chevelure a été mis en lumière par de nombreuses études;
- De vitamine E dont l’action anti-oxydante contribue à protéger vos cellules du stress oxydatif (et donc du vieillissement prématuré);
- De bêta-carotène, précurseur de la vitamine A, dont les bénéfices s’étendent d’une capacité de conservation d’une vision claire à la préservation des fonctions cognitives et contribuant à préserver vos cellules du stress oxydatif.
Si vous cherchez à laisser votre beauté rayonner à l’extérieur par une approche nutritionnelle soutenant votre organisme de la digestion à la peau, vous avez trouvé votre allié.
En intégrant MyCollagenGlow à votre routine beauté, vous vous donnez les moyens de profiter de votre vie dès demain, grâce à une première cure de 3 mois.
- Méta-analyse de l’équipe de Sung-Il Ahn sur les effets de probiotiques consommés oralement par des adultes intolérants au lactose : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37225575
- Étude de Massimo De Martinis et des ses collaborateurs sur les relations en allergies alimentaires et processus de vieillissement : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6888073/
- Avis du régulateur britannique sur les limites des allégations santé liées à la consommation de probiotiques : https://www.nhs.uk/conditions/probiotics/
- Étude de Yang Hee Hong sur l’amélioration de l’hydratation cutanée par consommation de galacto-oliggosacharides : https://www.nhs.uk/conditions/probiotics/
- Exploration des effets prébiotiques des galacto-oliggosacharides sur le microbiote cutané : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35428999/
- Analyse des effets de galacto-oliggosacharides sur les bifidobactéries et leur activité métabolique in vivo : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4974821/